... pourquoi n'exigez-vous donc pas le vrai ???
Update:@Zoubida : Arrête, tu vas nous faire repérer ! :-o
Update 3:@daisy : Ni Hitler ni Staline n'étaient des gens particulièrement religieux et il y a pourtant eu Stalingrad, que je sache. Je crains donc que les religions ne portent ici le chapeau pour d'autres causes. N'était-ce pas Jaurès selon lequel "la capitalisme apporte la guerre comme la nuée apporte l'orage" ?
Update 5:@Gérard : Arthur Hugh Clough semblait le deviner :-) :
"There is no God," the wicked saith,
"And truly it's a blessing,
For what He might have done with us
It's better only guessing."
"There is no God," a youngster thinks,
"or really, if there may be,
He surely did not mean a man
Always to be a baby."
"There is no God, or if there is,"
The tradesman thinks, "'twere funny
If He should take it ill in me
To make a little money."
(...)
But country folks who live beneath
The shadow of the steeple;
The parson and the parson's wife,
And mostly married people;
Youths green and happy in first love,
So thankful for illusion;
And men caught out in what the world
Calls guilt, in first confusion;
And almost everyone when age,
Disease, or sorrows strike him,
Inclines to think there is a God,
Or something very like Him.
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La croyance a une origine biologique. Depuis la fin des années 90, de nombreuses recherches en neurobiologie vont dans ce sens.
Les travaux de l'équipe de Jacqueline Borg (Université Karolinska de Stockholm) ont démontré que la religiosité, c'est-à-dire la propension à voir le monde comme habité par le divin, dépendrait du taux de sérotonine, un neurotransmetteur déjà connu pour être susceptible d'engendrer des états similaires à ceux produits par certains psychotropes : modifications de la perception sensorielle, hallucinations, sensation de fusion avec le monde. Soit les sensations que les mystiques éprouvent au cours de leurs états extatiques. http://ajp.psychiatryonline.org/cgi/content/full/1...
Pour autant, la sérotonine n'est pas une «molécule de la foi» : Si la croyance en Dieu peut être favorisée par l'action d'une molécule comme la sérotonine, elle ne peut en aucun cas se résumer à son action exclusive.
Par ailleurs, une étude allemande de 2002 suggère que d’autres neurotransmetteurs, notamment les opioïdes (connus pour jouer un rôle important dans la sensation de douleur) pourraient être impliqués dans la cognition religieuse. Ainsi le "spirituel" aurait une origine purement chimique, donc matérialiste. L’esprit ramené à la matière.
De fait, la structure du cerveau nous programmerait également à croire : c'est ce qu'a démontré en 2001 une expérience menée avec huit moines tibétains plongés dans un état de méditation débouchant sur une sensation de symbiose. On a remarqué que plus la méditation semblait profonde, et plus l'activité du cortex pariétal supérieur était ralentie. Or il se trouve que l'une des fonctions de cette zone cérébrale permet de distinguer son corps de l'environnement et de s'orienter dans l'espace. D'où l'émergences, chez les moines étudiés, d'altérations et de la sensation de fusionner avec l'Univers.
Ce ne serait pas la seule zone du cerveau concernée. Les recherches du neurobiologiste américain Michael Persinger suggèrent "que la stimulation électromagnétique des lobes temporaux, ces aires localisées au niveau des tempes, déclencherait la sensation d’avoir à ses côtés une présence divine. Ces aires pourraient donc être impliquées dans l’aptitude à ressentir une présence divine.
La psychologie, pour sa part, a démontré que l'humain a une perception innée du monde qui fait la part entre le «surnaturel» et le réel. Si bien qu'en contredisant notre entendement, les croyances religieuses (miracles, entités invisibles...) provoquent une réaction émotionnelle forte qui, paradoxalement, nous conduirait tout naturellement à leur attribuer un «pouvoir explicatif supérieur».
Le cerveau humain est doté d’un mécanisme biologique et psychologique inné qui le rend sensible à l’idée d’existences divines. D’autre part, "notre perception intuitive du réel étant innée, sa transgression par les croyances religieuses provoque une réaction émotionnelle forte". Dit autrement, par l’évocation de ces transgressions contredisant notre entendement, nous sommes amenés "à leur attribuer un pouvoir explicatif supérieur".
L'acceptation du surnaturel est favorisée par l'ambiance émotionnelle et collective des rites (musique, gestuelle, prière) et par le sentiment de sacrifice et de soumission. «Au bout du compte, l'émotion est plus forte, plus convaincante que la logique et la raison.»
la recherche en neurologie à démontré que la religiosité et la foi trouve une explication physiologique au cœur même du cerveau. C'est la théorie de l'Esprit qui fait intervenir différentes parties du cerveau: le cortex préfrontal médian et orbito-frontal, les amygdales, la jonction temporo-pariétale et le pôle temporal.
La vison des anges des créatures divines ou des fantômes est produite par une région précise du cortex : la jonction temporo-pariétale.
L'impression de sortir hors du corps est due à l'activation d'une zone très restreinte du cortex temporal, le gyrus angulaire. L'effet spectaculaire de l'impression de sortir du corps lors de l'activation du gyrus angulaire a été mise en évidence en 2002 par un neurologue suisse, Olaf Blanke. La patiente était allongée, le buste relevé par des coussins, une centaine d'électrodes insérées dans son hémisphère cérébral droit. Lorsque le neurologue a activé l'électrode dans le gyrus angulaire, la patiente a déclaré : "j'ai l'impression de m'enfoncer dans mon lit". Un courant un peu plus fort et la sensation devient "je chute longuement" Au-delà encore "Je me vois d'en haut, couchée sur le lit mais je ne distingue que mes jambes et le bas de mon torse" Lorsque le courant est coupé, tout redevient normal.
@ Oriblima A l'époque de Jacques Boucher de Perthes la pensée dominante mélangait Dieu et science. La classification utilisée par les naturalistes était celle de Linné et reprennait les concepts antiques de supériorité du divin sur l'humanité. Quand Perthes dit dans son alternative que Dieu a dû naître avec le premier homme il avait raison sans le savoir. Cependant sa conclusion est fausse. La croyance est apparue avec les capacité cognitive de l'Homme afin de lui permettre de résoudre les problème apparus avec sa capacité de penser. Le fait que l'évolution a favorisé l'émergence de la croyance n'est pas la preuve de l'existence de Dieu. Et montre au contraire que la croyance et une chimère produite par le cerveau. Par conséquent, Dieu n'existe pas en dehors de sa création par le cerveau humain.
Les hommes ont besoin de croire en quelque chose. Alors au fil du temps, ils ont crus aux dieux de l'olympe, au christ, en allah, Ã bouddha, et encore bien d'autres.
Tout cela, pour pouvoir surmonter les peines et les drames de la vie.
Je ne crois pas en dieu.
Je crois en la vie. Et en ce que je vois. Très pragmatique. Bon j'irai en enfer, mais non parce que comme le disait mon arrière grand-mère,
l'enfer ma vie c'est sur la terre, alors lorsque tu meurs tu vas au paradis. Je n'ai jamais oubliée ces paroles d'une dame de bon sens qui adorait la vie.
Je pense que si il n'y avait pas eu de religion, il n'y aurait pas eu de guerre, et ce depuis que le monde est monde.
Au nom de dieu, que des morts !
Mais je respecte le choix de chacun.
Je trouve juste dommage que certaines personnes se laissent embrigadées et enfermées dans des sectes qui profitent de leur désarroi et de leur faiblesse.
J'ai une amie (ce n'est pas Zoubida !) qui un jour s'est exclamé :
"Oh, mon Dieu" !
Je lui ai simplement répondu :
"Restons simples, appelle-moi Bernard !"
De fait, ses exigences étaient assez simples !
Parce qu'il est malvenu de poser certaines questions (00:47'):
http://www.dailymotion.com/video/x1t9rp_gentil-mou...
celui avec des vraies pépites de chocolat dedans?
Exiger, non, le suivre, oui !
http://www.ktotv.com/videos-chretiennes/emissions/...
On connait le vrai, Hamdoullah.
Oui, mais c'est mon mien le vrai, na !
il ya un seul Dieu qui est le créateur de tout
Comment ça, exiger ? Il est là , on l'adore.
Voilà que tu nous a mis Zoubida en transe !